Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Forme et Diététique
Publicité
Newsletter
Forme et Diététique
Archives
25 juin 2014

LE DANGER EST-IL DANS L'ASSIETTE ?

 

 

Prion, salmonelles, dioxines, listérias, nitrates, hormones, les dangers nous guettent à tous les coins d'assiettes...

 

Il n’est bien sûr pas question de négliger ces crises alimentaires, mais il faut leur redonner leur juste importance, et on risque moins un décès prématuré suite aux toxines ingérées que par excès de table et alimentation déséquilibrée, par excès d’alcool et de tabac, en prenant le volant ou en respirant tout simplement l'air ambiant. 

Le risque fait partie intégrante de notre vie, il est la contre partie incontournable de tous les progrès et s'il faut évidemment essayer de les réduire au maximun, on ne peut que reconnaître qu’il est moins dangereux de vivre à notre époque qu'à n'importe quelle autre et l'augmentation régulière de notre espérance de vie en est la meilleure preuve. 

 

Quels sont les dangers de la dioxine ?


La dioxine est une substance que l’on rencontre régulièrement dans notre milieu ambiant. 

Ce produit est reconnu comme étant cancérogène mais seulement à partir d’une très forte dose pendant une longue période d’exposition. 

Dans ces conditions, une cuisse de poulet contaminé de temps en temps ne peut provoquer l’apparition d’un cancer et peu de personnes ont l’habitude d’ingurgiter plusieurs poulets par jour pendant des années !


D’autre part les poulets belges n’ont pas l’exclusivité de la concentration en dioxine. 

On retrouve cette dernière dans l’air que nous respirons, dans nos grillades cuites au barbecue, dans certains légumes qui peuvent peut être fixer la dioxine de l’air. 

Soit ces faibles doses stockées au fil du temps sont inoffensives, soit elles risquent d’augmenter effectivement les risques d’apparition de cancers et dans ce cas les poulets belges n’ont été qu’un petit maillon de ce stockage involontaire. 

Bien entendu, cela ne veut pas dire que l’on peut s’octroyer le droit de nourrir les poulets avec n’importe quoi mais dans ce cas précis le problème est certainement plus dans l’absence de moralité des éleveurs que dans les réels dangers de la contamination.

LIRE LA SUITE DANS DIETETIQUE

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité